BUREAU LUMIERE CAMP DE DOUALA - MAKEPE

MESSAGE DE LA PROPHETESSE DU DIEU VIVANT : MARIE LUMIERE

14e ANNIVERSAIRE DU CAMP DE DOUALA MAKEPE  - SAMEDI 1er AOUT 2009

-Bonjour les Hommes d’Amour et de Paix.

-Bonjour Maman.

-Bonne fête- Bonne fête- Bonne fête.

-Merci Maman.

Je crois que les réjouissances de cette journée révèlent une victoire qui vient rassurer vos frères et sœurs chaque moment les gens pour lorgner si le camp grandissait. Si ceux-là arrivaient et voir que ça ne bougeait pas, ils devaient être malades. Je crois qu’aujourd’hui, qu’en ce 14è anniversaire, nous pouvons tous dire : « papa, you bi carry some heavy kakou, but now you don’t put it down. »

Je sais que beaucoup d’entre vous, au lieu de rentrer ce soir avec honte et tristesse au cœur, rentreront plutôt avec joie. (Ndlr : vifs cris de la foule)

Nous devons comprendre une seule chose : la vraie arme d’un soldat c’est son courage. Sinon il sera abattu au front. On peut vous donner tout le matériel, mais sans courage, vous ne franchirez pas l’adversaire. C’est le courage et la persévérance qui nous amènent aujourd’hui à gravir cette pente. Je vous le dis : Dieu est un Homme patient. Aucune de ses paroles ne passe vainement. Aucun de ses agissements ne se passe inaperçu. Aucun de ses raisons ne pourra ne pas être.

Dieu vous a révélé beaucoup de choses en 1995 et beaucoup d’entre vous n’avaient pas cru. Le doute amenait beaucoup d’entre vous à se demander : «Maman, tu es seule ici et tu continue à nous dire qu’un temps viendra où on n’aura pas de place ici au camp ; comment est-ce que cela se passera t-il ? ». Et je répondais et je continue à répondre : « Ce camp grandira ; un moment viendra où on n’aura pas de place »

-Et comment cela sera-t-il possible ? Beaucoup m’ont posé de questions à propos. Ils demandaient chaque fois comment cela se ferra t-il ? Je disais et je continue à vous le dire : « Dieu ne trompe pas, ce qu’il a dit est fait ». Même si, maintenant vous ne voyez rien, un moment viendra où cela sera à la vue de tous. Hier c’était difficile. Tout ce qu’Il dit ne se passe pas vainement.

Il nous manque la patience. Vous devez rester tranquille et demeurer dans la prière et attendre la volonté de Dieu. Peu sont ceux qui acceptent faire ainsi.

Je vais vous relater quelque chose peut-être de pertinent qui peut aider les autres à comprendre .Je vous dirais que rien ne m’a effrayée ; rien ne m’a jamais surprise. Tout ce que je reçois aujourd’hui a été. Quand j’imagine aujourd’hui comment était notre papa, il passait son temps à ne faire que du bien et n’avait jamais été consolé, ni accepté par les gens ; même par ses propres frères. Combien de fois pour moi sa fille ? A quoi dois-je m’attendre des autres ? Chaque fois, nous avons tant chanté que : « Dieu est avec nous ; Dieu nous écoute. » Mais personne n’accepte rester tranquille pour que le Seigneur vienne en lui.

Les Hommes d’Amour et de Paix, avant de continuer avec cette fête, nous devons comprendre une chose. Hier, on a parlé de Mallah qui était difficile. Alors tout ce qui a été dit ne passera pas vainement. Nous devons comprendre cela.

Il nous manque la patience pour pouvoir rester en prière et attendre le faire.

Les hommes d’amour et de paix, avant de souligner cette forme, nous devons comprendre une seule chose :

Hier, on a parlé de Mallah qui était. Est ce qu’aujourd’hui, il n’y a pas certains parmi vous plus pire qu’elle ? Est ce qu’aujourd’hui, il n’y a pas encore d’autres ? Est qu’à nos jours vous avez changé ? L’homme ne change pas. Il passe son temps à tourner tout autour de lui-même.

En ce qui me concerne l’anniversaire de ce jour, je l’ai dit je serai l’invité d’honneur en cette année. Vous le savez, depuis je ne suis pas avec vous, je suis en congés ? Et je n’ai jamais passé cette fête alors que je suis en congés.

Mais parfois, lorsqu’on construit une maison, on peut un peu s’éloigner pour observer si les murs sont droits. Et si ce n’est pas droit, on lutte pour au moins les redresser. J’espère que peut-être que le mur de gauche a été un  peu droit. Alors que le mur droit a été trop tordu. Et maintenant il faut quand même le redresser pour qu’il puisse être droit afin qu’en y habitant, que l’on ne s’inquiète pas du fait que le mur puisse s’écrouler ou qu’il puisse pleuvoir sur vous, ou encore que vous puissiez ressentir du froid.

Oui, cette journée pouvait être dansante jusqu’au lendemain, même pendant des jours ceci à cause de multitudes raisons dont entre autres :

  • Qui aurait crû qu’en cette date de nombreux malades à cette quantité soient ici à présent en ce jour ?
  • Qui aurait cru lorsque je criais ici en vous disant « Si en fêtant le 14e anniversaire du départ de Bépanda pour Maképè, je me trouverai encore sans des malades je laisserai ce travail et je m’en irai.

Quand je vous disais que le camp va grandir sans problème, beaucoup se sont posés 10 000(dix milles) questions.

Quand j’ai dit et je continue à vous le dire : si moi j’avais demandé à être ce que je suis ou bien si j’ai acheté cet œuvre, tout finirai par tomber, par contre, si cela était la volonté de Dieu, je vous assure que tous les plans qui avaient été divinement tracés seront effectifs et nuls ne changera. (Ndlr : vive réaction de joie de la foule)

Alors, je ne sais pas comment les hommes ne peuvent pas comprendre j’observe que ici chez nous au Cameroun, les hommes courent dans les inutilités plus que ce qui est utile. J’ai mes raisons à moi.

Il fut un bon bout de temps, où j’ai dit je ne cesse d’implorer le secours de notre Dieu pour la jeunesse. Mais aujourd’hui, qu’est ce que, vous qui m’écoutez, me posez comme question ? Est ce que ce n’est que la jeunesse qui vous intéresse ? C’est un chemin par lequel vous tous avez emprunté.

Sans la jeunesse, pas de peuple. Lorsque je disais, je me suis rendue compte que beaucoup d’entre vous voient sans voir et entendent sans comprendre. Je me suis rendue compte qu’il y a de moments où, tout ce que je dis ne retombe que sur moi même parce que personne ne comprend.

C’est ainsi que dernièrement, l’histoire d’homosexuelle a été légalisé au Cameroun (Ndlr : le Cameroun a ratifié en juin 2009 les accords de Maputo relatif à la légalisation de l’homosexualité, et de l’avortement au Cameroun. Ce qui a suscité la marche pacifique initiée par l’église catholique à travers l’initiative du cardinal CHRISTIAN TUMI, lui seul et quelques proches. Marche qui n’a été effective qu’à Douala uniquement. Pourquoi pas dans le Cameroun dont le prophète PERE SOFFO et la prophétesse MARIE LUMIERE n’ont jamais cessé de décrié ainsi : « Priez pour votre Eglise, l’Eglise est malade ».)

L’avortement, quand on demande d’effectuer l’avortement dans le cas des grossesses indésirées, on a indexé le pape Benoît XVI de vieillard de plus de 70 ans, beaucoup ont approuvé cette décision. Je vais vous expliquer quelque chose. Tout ce que vous acceptez, ça n’engage que vous. Il ne suffit pas aujourd’hui, de passer son temps à faire quoi que ce soit, suivez attentivement. A nos jours, la vie de chaque personne se trouve dans ses paumes de main, hier comme aujourd’hui. Mais ce qui est très pertinent c’est le fait que : les parents ont la vie de leurs progénitures entre leurs pommes de main, et le travail est en train de s’accroître.

De nos jours, il faudrait encore trop luter pour réaliser beaucoup de bonnes choses. De nos jours, il faut saigner pour que la raison s’installe. A nos jours, il faut être quelques fois prêt à confronter la mort pour réaliser les choses acceptables et utiles.

J’ai pleuré personnellement lorsque j’ai suivi une femme ayant les enfants déclaré : «  Si elles avortent, ça fait quoi ? Ce n’est que leur corps, est ce que c’est votre corps ? ».

Si toi même, sans mariage, si l’on ne se mariait pas naturellement et te procréer, par où passeras tu pour venir au monde ? Comment peut-on refuser d’accoucher et adopter des enfants ? Est ce normal ? Ici au Bureau Lumière, pendant qu’on lutte pour que les jeunes évitent de détruire leurs vies, de l’autre côté (Ndlr : les politiques) on les motive plutôt à se détruire la vie. Mais, sachez cette vérité : l’homme a été crée par deux chemins ; deux chemins, lesquels ? Dieu et le démon.

Tu choisis Dieu ça n’engage que toi, tu choisis le démon, ça n’engage que toi seul. J’ai exhorté les jeunes de se méfier de la facilité qui les pousse chaque fois à faire le « vivre heureux et mourir jeune »

Je les ai exhortés de ne pas se laisser emporter par la vie facile. Je vous dis et je continue à vous le dire : « Demandez et vous recevrez, frappez et on vous ouvrira »

Quand Lui-même le Seigneur déclare : « Si je t’ai crée et fortifié ton corps et ton esprit, c’était pour empêcher que l’esprit ne puisse pas vouvoyer (dominer) le corps et vice versa »

« Si je t’ai crée et donné l’intelligence et la sagesse, c’est pour t’édifier et te permettre de reconnaître le chemin que tu empruntes dans la vie. Celui du bien ou du mal » c’est pourquoi parmi de nombreuses créatures de ce monde Dieu n’a donné qu’à l’homme seul, l’intelligence et la sagesse.

C’est pour cela que l’homme est considéré comme le support de l’humanité. C’est pourquoi j’envoie des prophètes vers vous. Je vous envoie ceux là afin qu’ils vous soutiennent. Je les envoie comme supports du monde. C’est pourquoi j’ai crée des personnes qui peuvent vous soutenir et vous aider dans votre foi. C’est pourquoi vous le dites tous les jours tel en est de même pour les enfants de tout à l’heure : « l’Eglise est l’arrosoir de votre foi »

C’est pourquoi je vous dis que chaque fois, avant d’arriver au camp, il faut être muni d’un cahier et d’un stylo pour au moins relever ce que vous écoutez parce que quand ça ne va pas dans votre vie, vous pouvez ouvrir vos cahiers et vous referez aux messages concernant le problème qui vous dérange.

Il est très capital de lire et relire les messages passés pour soutenir votre vie.

Si je vous ai crée à mon image, c’est parce que je trouve en moi que toute personne qui croira en moi, demeure en lui, mon esprit.

Revenons à cela : le travail que Dieu nous demande à faire est tellement immense. Il y a plein d’œuvres du Seigneur. Dans votre quartier comme dans vos familles, et je reviens à ceci.

Attention de faire du Bureau lumière une secte. En passant par vos manières d’agir et de vos comportements, en passant par des rêves bidons il faut comprendre. Ne pas être rêveur à chaque moment. Ne pas dormir et dire du n’importe quoi il faut comprendre cela.

Ne pas transformer l’œuvre de Dieu en tabou, en une secte en passant par votre façon d’agir. En passant par votre manière « j’ai rêvé que c’est monté», « j’ai rêvé que c’est ceci », « j’ai rêvé que… »

La prophétie n’est pas un rêve. Il faut que vous compreniez. Le messager n’est pas un rêveur.

Le travail de Dieu n’est pas un rêve. Lorsque je vous observe, mes yeux ci vous filment. Si le père a dit n’importe quoi à qui que ce soit, il ne l’oublie pas. Stoppez moi ça !

Et si vous voulez quand même comprendre mettez vous en prière. Si Dieu accepte, il vous enverra. S’il n’accepte pas ce n’est pas par votre force que vous ferez quoi que ce soit. Il faut que vous compreniez.

Ce n’est pas une transformation de l’œuvre. Le Bureau Lumière, c’est Dieu qui l’a crée. Il a crée le Bureau Lumière comme un hôpital spirituel. Tous ; vous tous, tout ce que vous avez reçu comme guérison, c’est d’abord une grâce. C’est une grâce de recevoir ici tout ce que vous pouvez avoir comme guérison. Il vous invite tous à être ses témoins. Mais que chaque personne reste à sa place et continue ses œuvres comme ça se doit. Il faut que vous compreniez et je vais vous expliquer quelque chose.

Mon mari peut faire partie  de cette œuvre s’il reste à sa place et fait ce qu’il est de son devoir afin de mériter ce que Dieu peut lui donner. Mon enfant peut mériter la grâce de Dieu si lui-même le cherche. Je ne peux pas chercher le Ciel pour lui chaque personne cherche pour soi-même. Parce que je peux lui dire tout ce qu’il a à faire. Mais s’il ne le veut pas, ça ne peut pas.

Il faudrait que chaque personne d’entre vous se lève soi-même pour lutter pour son Ciel. Je lutte ainsi pour mon ciel. Pour lutter pour l’œuvre ; je lutte ainsi pour l’œuvre de Dieu.

Je vais vous dire que Jésus lui-même avait été interrogé par un de ses disciples au sujet du plus grand disciple parmi eux. « Seigneur, qui est le plus grand parmi nous » et le Seigneur de lui répondre «le plus grand sera celui qui travaillera jusqu’à manquer même de place »

Aujourd’hui, je m’assois avant de vous parler. Par contre, quand on venait de commencer ce travail, on se tenait debout à partir de 6h le matin sans chaise. Nous avons supplié, et le Seigneur a accepté cette chaise pour que nous puissions nous asseoir dessus.

Ne mystifier pas vos matériels que vous nous avez donnés. Si vous en faites un mystère, du mysticisme, moi-même j’abandonnerai et je resterai tel quel. Chaise ou pas, ça ne changera pas de moi ce que Dieu a voulu. Ça ne changera pas ce que je suis. S’il m’envoie même à pied, je le ferai. Il faut que vous compreniez. Ne pas transformer le Bureau Lumière. J’en ai marre d’entendre tout ceci, patati-patata, on fait ceci, on a fait cela. Tous les 365 jours que Dieu a crée, un homme qui croit fermement ne peut voir le miracle qu’en soi-même.

Le premier miracle, c’est le réveil du matin. Parce qu’avant que tu ne te réveilles le matin, certains ne se sont pas réveillés. Ils sont morts dans le sommeil.

Le deuxième miracle, c’est la conduite de la journée parce que tu sors de chez toi et rentre le soir alors que les autres ne sont pas rentrés.

Le troisième miracle c’est le sommeil qui t’emporte veut ou pas. A tout heure où, à tout moment Dieu fait en nous des miracles car s’il ne veut pas, nous ne le serons pas.

Alors en cette fête, je demanderai à tous les malades qu’avant de rêver, comme vous le faites, les premiers œuvres devant Dieu pour mériter c’est le PARDON. C’est le PARDON et l’AMOUR. Le PARDON, la PATIENCE, et l’AMOUR.

Il est inutile de trop crier que je suis avec Dieu alors que tu n’es pas capable de pardonner ton prochain. Il est inutile de dire « me voici, alors que tu n’es pas capable d’être sûr de toi-même »

J’ai l’honneur de vous dire que lorsque vous faites cela, vous passez du temps à fuir vos ombres vous mêmes. Quand vous créez des problèmes, vous fuyez vous mêmes vos ombres. Une mouche passe vous dites : ça va me prendre. Ça va faire ceci. J’ai été sidérée d’entendre que le récent vent, la tornade qui a même arraché des toitures ici même à Douala soit arrivée à Yaoundé. C’est alors que beaucoup d’entre vous sont  partis de Yaoundé pour Douala pour me demander de Douala au village pour me chercher. Lorsque je demande pourquoi on me cherche, on m’a raconté ceci : « un vent a souffle et a renversé la chaise de Père au podium. Maman qui est ce que ça veut dire ? »

Je ne veux pas le charlatanisme dans le Bureau Lumière. C’est le cœur d’un bandit qui frappe.

Si tu as les problèmes avec la chaise, remédie vite à la situation. Il ne faut pas passer du temps à me poser des questions banales. Il faut comprendre.

Est ce que le vent peut éviter la chaise de Marie Lumière ?

Est ce que c’est parce qu’on croit qu’on va refuser les phénomènes naturels ?

On ne peut pas refuser la nature. C’est devenu un problème. Non seulement on me cherche pour cela, mais en plus, on va jusqu’à me donner un message à propos de cette chaise du podium. Qu’est ce que cela devient ? Il ne faut pas mettre le charlatanisme dans les choses. Il faut comprendre !

Croire c’est mettre en soi-même, une assurance. Je crois fermement, dans mon âme et conscience, contre vents et marées, je reste tel quel.

Je vous avais déjà tellement enseigné sur la croyance et la foi, jusqu’à vous raconter qu’un jour, un homme sourd avait tellement souffert, qu’il marchait des jours si bien qu’il ne savait pas comment faire pour manger. Il continua la marche jusqu’à un moment vint le vent, ceci souffla tellement qu’il le porta le jeta sur un buisson puis il se mit à dormir et déclara « le vent, si tu ne me portais pas, j’allais marcher jusqu’à mourir. Je remercie le vent qui m’a porter et me permettre de dormir »

Alors, l’homme s’endorma  jusqu’à quelques jours plus tard, avant de se réveiller, il avait retrouvé sa guérison dans la ferme foi. Si vous passez le temps à faire le charlatanisme, le démon va vous dévier. Il faut que je vous dise la vérité. A toujours observer ce qu’il y a pour vous poser des questions de savoir comment sera ceci ? Comment sera cela ? Vous tremblez ! Au juste de quoi tremblez-vous ?

Ndlr : regardez-moi ma part de soldats ! Quelle déception ?!

Ndlr : alors que je faisais de vous mes meilleurs soldats

Regardez ma part de soldats lorsqu’on vous voit on se dit que si l’on partait à présent on aurait laissé les meilleures soldats.

Quand un vent souffle, on a peur. Et si une violente pluie tombe, allez vous seulement mourir ? Eh ? Il faut comprendre !

Vous empêcher que le ciel ne vous exauce parce qu’il y a des choses que si le Seigneur vous les révélait en plein jour, vous deviendrez fous

Vous vous faites des illusions, des imaginations sans sens. Il ne faut pas empêcher Dieu en vous avec vos imaginations bidon.

Considérez toute chose comme cela se présente. Si le Seigneur constate que vous n’avez rien compris il vous aidera à comprendre. Je ne sais pas pourquoi vous allez passez du temps à craindre. À chaque moment on vous dit : « n’ayez pas peur » vous tremblez ainsi ? Ce n’est pas normal vous qui êtes fanatiques des miracles, vous voulez qu’à chaque instant que les miracles se produisent à vous. A toute heure, vous voudrez voir des miracles se produire en vous.

Dieu le fait à tout moment.

Il y a des personnes qui la nuit n’arrivent pas à bien dormir à cause de la maladie, mais dès que le jour arrive, ils recouvrent leur santé comprenez cela.

Pour avoir tout cela, il faut accepter la volonté de Dieu afin qu’il vous accorde à chaque fois sa grâce dans votre vie.

Les premières des choses à faire pour Dieu c’est le remercier chaque fois de vous avoir créé.

Je l’ai dit et je le dirai toujours, chaque soir, tout personne devra s’interroger. En cette journée qu’ai je fais pour satisfaire Dieu ? Voici tombée la nuit. Durant toute la journée, qu’ai je fais pour plaire à mon Seigneur Dieu ? Voilà la question à se poser. Quand au lever du jour priez ainsi Seigneur, permet qu’en cette journée je sois dans ton plan.

Faire un bilan journalier le soir venu. Est ce qu’en ce jour Dieu, j’ai fait la volonté du Ciel ? Ai je fais ce que Dieu me demande ?

Voilà ce que vous devez comprendre.

A force de vous précipitez chaque jour voilà pourquoi vous tombez.

Mes frères et sœurs dans le Christ, s’il vous plait, il n’y a aucune obéissance plus grande que celle d’accepter la volonté de Dieu à tout bout et de le laisser agir en vous. Ne pendez pas que c’est par votre initiative que tout se passera normalement. Je vous dirai : « non ». Vous ne pouvez pas, être au camp tous les jours et tomber dans le piège comme les autres. J’ai observé jusqu’à voir que l’histoire de la séparation du camp, personne ne sera au camp !

-Personne !

J’ai compris cela et réalisé que peut-être si cela se passait hier, on ne pouvait pas maîtriser.

Par rapport à ce que vous faites chaque fois, j’observe que vous avez la volonté mais il y a cette précipitation dans vos têtes qui vous fait dire même ce qu’il ne faut pas. Vous vous précipitez trop. La preuve en est que chaque année que je prends mes congés, il y a des petites situations délicates qui surgissent. Des petits problèmes à gérer. Je me demande où allez vous ? Et si aujourd’hui je m’en vais, que ferez-vous ?

C’est cette réflexion qui m’a amenée à vous inviter à lutter tous pour immortaliser l’œuvre de Dieu. Mais en voulant le faire, j’ai observé qu’il y a des destructeurs plus que ceux qui veulent accepter. Mais quelque soit la petite poignée de personne qui accepte que nous puissions immortaliser l’œuvre vous n’êtes pas peu. Vous n’êtes  pas peu. (Ndlr vives cris de la foule) je suis sûre et convaincue que la grâce de Dieu, même si ce n’est qu’une petite quantité  de personne, nous irons jusqu’au bout.

J’ai observé qu’il y a trop de monde présent mais leur présence n’est que pour voir ce que l’on a à faire et y mettre pied pour écraser. Ils sont là pour faiblir la volonté de ceux qui veulent faire.

Ce n’est pas par des paroles choquantes que vous parviendrez à affaiblir ceux là. Ce n’est non plus par des mépris où bien par le rejet que vous faiblirez mais tout au contraire, je vous le dis ; écoutez moi bien.

Que le mépris vous donne la raison de vie. Que les paroles choquantes vous donnent la réjouissance dans la foi tellement que même au carrefour le sommeil vous attrape, vous dormez très bien.

Que les engueulades ne faiblissent pas votre foi.  Mais tout au contraire que cela donne la bonne parole à vos lèvres pour édifier les autres. C’est ça qui faiblit l’homme dans sa foi. La gueule, le mépris, des moqueries de gauche à droite à chaque moment doivent seulement vous fortifier dans votre foi. Je vais vous dire quelque chose.

-Gao !

-Ooh !

Tout au contraire, ce qui m’a rendu forte jusqu’aujourd’hui c’est de me sentir seule dans ma chair et le Seigneur venir me tenir par la main et dit : « Marie vient on part » si je sentais un moment que j’étais avec les gens, c’est que je tombais dans le piège du démon. Mais en me sentant à chaque instant dans les bras de mon Seigneur, je continuerai mon chemin et je le remercierai en lui demandant encore plus de grâces et de courage pour continuer.

Alors, faites autant.

Que le mépris, ni les engueulades, ni les injures, ni des mots choquants ne vous foudroient pas et ne vous faiblisse pas non plus, ni vous faiblir la foi. Au contraire, que cela fortifie et vous rende encore plus fort.

Il fût un moment, quand on était encore jeune, lorsqu’on observait des filles timides et on leur parlait au moment des pleurs on formait un rang derrière eux. Puis on les provoquait en les accusant d’avoir dit quelque chose, ce qui n’était pas vrai. Et elles se mettaient à pleurer. C’est alors qu’on ramassait les herbes pour verser sur elles. Au fur et à mesure qu’elles pleuraient on les lançait davantage cela. Dès qu’elles cessaient de pleurer et nous suppliaient de les laisser tout le monde arrêtait et  se moquait d’elles. En disant «c’est alors de cette manière que tu te comporteras lorsque tu seras en mariage chez ton mari ? ».

A nos jours, j’ai compris que cette manière se blâmer donne une force à celui qui subit, c’était pour fortifier les gens.

Les brimades dans leurs jeunesses fortifient les enfants.

Aujourd’hui j’observe qu’à chaque moment vous passerez votre vie à un petit jeu à couler des larmes.

Si vous voulez vivre dans ce monde jusqu’à être à l’aise, il faut se contenter du peu que Dieu te donne. Ne pas vouloir mettre l’œil sur ce qui est aux autres.

Et en plus, pour mieux vivre il faut regarder si ce que vous faites plait à votre Seigneur Dieu. Si ça lui plait, continue, si tu sens que ça ne lui plait pas, alors stoppe. Ne pas tourner, chercher fouiller alors que vous ne trouverez pas mieux nulle part. Il n’y a nulle part où vous viendrez trouvez quelqu’un assis et vous dire « me voici, je suis ton Dieu » mais, il a fait de vous sa maison que vous porterez pour marcher ensemble avec lui. Et vous ne pouvez pas comprendre. Regardez la tortue, lorsqu’elle marche, elle marche doucement et là où il pleut trop, que fait il ? Elle entre dans sa carapace pour se cacher afin de se reposer. Dieu voudrait que vous fassiez pareil.

Là où ça ne tient pas, replies toi en lui, tu verras comment en te réveillant, tu détiendras plus de force.

-Bonne fête

-Bonne fête

-Bon retour pour les autres

Aujourd’hui nous pouvons avant de continuer faire un temps de silence et demander à notre Eternel Dieu pour ceux qui ne sont pas parmi nous à cause de la tristesse ou de la joie. Certains ne sont pas là parce qu’ils ont perdu les membres de leurs familles.

A Yaoundé, il y a eu 2 chantres qui ne sont pas avec nous par l’appel de Dieu. Nous pouvons quand même faire une prière pour eux.

Il y a ceux qui ont voyagé pour des événements heureux ou malheureux. Et ceux qui ont voulu venir, hélas n’ont pas eu des possibilités pour y arriver.

Prenons pour ceux là un moment de silence et demandons à Dieu tout puissant de mieux éclairer le chemin afin que tout ce qu’ils sont allés faire puisse mieux marcher.

Nous sommes à ceci :

Je vous avais un peu parlé par parabole d’une femme qui était enceinte et que j’attendais cette grossesse. Cet enfant a vu le jour le jeudi 16 avril 2009.

J’étais restée chez moi, et on m’a apporté une  invitation dans laquelle on m’informait qu’il y a une équipe qui voulait me voir. Ils me rencontrent et m’informent qu’ils ont quelque chose pour moi.

J’ai réfléchi, et je n’ai même pas voulu m’en aller. Je m’étais posée plus d’une question à savoir ce qu’on peut me donner en ce monde. Mais j’ai interpellé certains parmi vous pour les en informer. Ensemble, nous avons rencontré cette équipe qui a expliqué qu’il appartient à Cameroun Fondation. La personne même qui m’avait personnellement appelée est une grande autorité de ce pays.

En tout vérité jusqu’à nos jours nous ne nous sommes pas personnellement rencontré. Cette autorité m’a envoyé des gens et des messages. Ces gens sont venus me signifier que tout ce que je fais ils voient et comprennent et eux ne pouvaient pas laisser cela vain.

C’est ainsi que le 16 avril 2009, on m’a invité au Hilton Hôtel de Yaoundé pour me remettre ce Trophée. (Ndlr : Maman le saisit et le brandit au public sous les grands cris de joie et de gaieté).

Lorsqu’ils se sont présentés, je leur ai accepté leur proposition tout en refusant d’acheter quoi que ce soit. Ils m’ont dit qu’il y a certains qui achètent même et ils refusent.

En effet, c’est depuis 1988 qu’on a passé du temps à étudier tes œuvres. J’ai posé des questions sur le processus qui conduit à décerner cette distinction à une personne, ils m’ont répondu que lorsque vous êtes ciblé, on vous suit partout. Partout où vous allez, on vous suit sans mot dire.

Tout ce que tu fais, tu dis, on t’écoute et on essaie d’analyser.

J’ai voulu demander des cas précis à m’expliquer. L’un d’eux m’a répondu par des dates et faits précis que j’ai effectué et cela était cohérent.

Du genre, tel jour tu es allé dans telle banque contacter tel prêt, tu as fais telle chose avec.

Tel jour tu as voyagé pour tel pays où tu as été à tel endroit. On m’a détaillé mon cheminement au point où mon souffle allait se couper. C’est alors que j’ai réalisé qu’aucun de mes faits et gestes n’est négligé.

Je lui ai demandé s’ils n’ont même pas des appareils pour sonder même l’intérieur de quelqu’un.

Même dans mon commerce, ils m’ont révélé, même dans mes mouvements bancaires, ils ont cité des crédits que j’ai eu à contracter et ce à quoi cela a servi etc.…

J’ai été vraiment sidérée d’entendre cela. Ils m’ont même révélé un séjour que j’ai effectué au village et ce que j’ai dû faire avec des dates précises. J’ai durant tout cet entretien croisé les bras pour les regarder et écouter me raconter.

Mais je dis, ce sont nos œuvres qui ont conduit à ce trophée. Ce n’est pas pour moi seule, c’est pour nous tous.

Si je ne vous avais pas informé avant, en toute vérité, je ne peux pas vous mentir, c’est parce que je doutais un peu. J’ai dis que je verrai avant d’accepter. Et j’ai vue.

Je ne pouvais pas partager cela tout seule, j’ai souhaité le faire ensemble avec vous. Nous sommes allés chercher cela pour vous montrer.

Chaque bonne œuvre ne se cache pas. De bonnes œuvres ne se cachent jamais. Depuis ce 16 avril jusqu’à nos jours, je ne les ai plus vus.

Si certains parmi eux se présentent même à moi, je ne les connaîtrai pas.

Ceci étant pendant ces périodes de congés en vérité, c’était une façon de ne pas être au camp, mais travailler plus qu’au camp.

Si je me déplaçais même d’un trait soyez tranquille, peut être que beaucoup d’entre vous ne vivraient pas parce que dans ce monde je n’aurai jamais de repos.

Pour ne pas trop vous traîner, en ce jour même je n’allais même rien vous dire, mais comme vous avez demandé j’accepte.

PROGRAMME :

Premièrement : le 24 août 2009, je serai de retour de ces congés et le 25 août sera la bénédiction des enfants à Douala.

La semaine suivante, je serais à Yaoundé pour celle des élèves de Yaoundé.

Dans 2 semaines :

La préparation du 6 août 2010 commencera en janvier parce que chaque moment qu’on débute cela tard, ça crée des problèmes.

Je reviens à la fête :

Comme nous avons fêté le 31 juillet aujourd’hui, il faut attendre encore 5 ans pour la fêter à nouveau (19e anniversaire) cinq ans pour que vous partiez de partout pour venir.

J’attire votre attention : suivez  bien !

L’année dernière, on n’avait pas fêté le 31 juillet à Douala. C’est vrai ou pas ?

C’est vrai. Mais cela n’a pas empêché qu’ils  puissent penser à cette journée mais entre eux.

Ce 31 juillet qui est tombé un jeudi. Les femmes de jeudi se sont déportées pour manifester leur joie mais sans aucune invitation ni déplacement. Ceci ne concernait que les jeudis et non l’ensemble du Bureau Lumière. Ceci veut dire que comme on fête le 31 juillet aujourd’hui, nous laisserons cinq ans pour se préparer à fêter cela. Mais le 22 janvier et le 6 août seront mutés. C’est à dire cette année, l’année prochaine sera le 6 août ainsi de suite. Ceci c’est pour lever toute équivoque.

Vous êtes comme des enfants lorsqu’on les lave, ils vont se rouler dans la saleté et déclarent : « j’ai sali ton corps là », ce qui m’amène à vous sortir ce programme c’est juste pour vous aider. Si vous voulez, fêtez et même tous les jours. J’ai pitié de vous. Puisque comme vous vous êtes déplacés aujourd’hui, il faudra que vous le faites encore le 6 août ainsi, tous les jours vous serez en route ça me fait pitié.

Quand je vois les temps un peu difficiles, je comprends et je me pose trop de questions. C’est pourquoi quelque soit ce qu’on à a faire, il vaut la peine de mieux se préparer cela avant de réussir.

Au lieu de se précipiter et mal faire.

Cette fête a aussi été bien préparée, puisque c’est l’ensemble des malades, c’est vous qui vous vous êtes époumonés pour la préparer. C’est vous mêmes qui allez partager entre vous ce grain d’amour.

Alors prochainement, il serait mieux pour vous que nous puissions mieux faire en prenant du temps pour inviter les étrangers à venir partager avec vous ce fruit ; ce bon fruit que Dieu a aimé le Cameroun et venir s’y installer. Pourtant tous les jours vous nous demandez de partir. (Ndlr :

Il faudrait que l’on puisse s’en rappeler pour mieux arranger avant de faire et de bien faire.

Dieu n’est pas comme vous, voilà qu’avec la pluie du matin, personne n’avait su qu’il pouvait faire un peu soleil. Voici qu’il vous a d’abord arrosé puis il vous sèche encore c’est pourquoi, je demanderai au plus haut que :

Mon Seigneur Dieu, que cette pluie qui les a arrosés lave ce qu’ils ont dans leur cœur et que le soleil seche cela, transforme en sueur et entre en eux. (Ndlr : vifs cris d’applaudissements). Fais qu’aucune personne ne rate cette grâce puisqu’on dit que celui qui sort chaque fois n’est pas un paresseux.

-Bonne fête !

-Merci maman !

-Bonne fête !

-Merci maman !

-A tous ceux qui vont voyager, que le Seigneur Dieu éclaire votre chemin et qu’il vous comble de sa grâce afin que vous effectuez un bon voyage.

-Merci Maman.

-Nous sommes maintenant à ceci, je constate que tout le monde a apporté de l’eau.

-Gao !

Je vous prie que tout à l’heure pour ceux qui vont rentrer directement, que ceux qui sont encore là leur permettent de prendre quelque chose pour mettre sous leur langue sans bousculade.

Pour ceux qui vont nous suivre à la maison, qu’ils ne bousculent pas. Il y a vraiment à manger ? il y a beaucoup à manger. Je n’aimerai pas que vous rentrez la nuit. Vous savez que lorsqu’on passe sous un kolatier et trouve une grosse cola, on ne cesse pas de passer de temps en temps près de ce kolatier. C’est vrai ou pas ?

-C’est vrai Maman

-C’est parce que je vous ai vu apporter de l’eau pour voir si on peut encore vous donner les bonnes choses comme la dernière fois. (Ndlr : l’intervention rapide)

-N’est ce pas ?

-Oui, Maman !

-L’intervention rapide ! (Ndlr : cris de la foule)

-Vous applaudissez même sans comprendre

-Est ce qu’on vous a dit que c’est cela ?

J’ai compris que cela vous avait vraiment aidé. Alors vous venez toujours avec de l’eau espérant en recevoir encore.

Dieu a plusieurs formes. Mais attendez un moment, je ne sais pas quel nom on baptisera le Bonheur d’aujourd’hui, on ne m’a pas encore donné. Comme vous tous attendez ce nom. Ne croyez pas que ce sera toujours « l’intervention rapide ».

-Que ceux qui doivent allez à table ne bousculent pas.

-Bonheur en main

-Début chant

Seigneur, Seigneur, Seigneur, Dieu voici le temps pense à moi seigneur.