Le 25ième anniversaire de la prise de service de la Prophétesse  Marie Lumière a été célébré à Douala-Makepe le samedi 27 janvier2007.  Les croyants issus de différentes congrégations religieuses et provenant des quatre coins du pays, ont tenu à témoigner à DIEU, leurs reconnaissances pour tous les bienfaits reçus à travers l'œuvre gigantesque de MARIE LUMIERE. Les autorités administratives, politiques, religieuses, et traditionnelles ont donné de l'envergure à cette grande fête.


LA PROPHETESSE MARIE LUMIERE a tenu à remercier tous ceux qui l’ont soutenue depuis le début de sa mission, tout en précisant que cet anniversaire était le commencement d'une nouvelle mission.



MESSAGE INTEGRAL DE LA PROPHETESSE MARIE-LUMIERE 

Bonne fête ! 


Merci pour cette journée. Aujourd'hui, je dis encore à mes Mamans (reines traditionnelles) : « Soyez les bienvenues ! ». J'espère que vous direz à notre grand père sa majesté ce que vous avez vu et non ce que vous avez entendu. Cette journée marque beaucoup de choses dans mon cœur. Ma joie est immense au point que les mots me manquent pour m'exprimer. Puisqu'Il a autorisé en ce moment que mes lèvres s'ouvrent et que Sa parole sorte, je m'attends à ce qu'Il fasse ce mouvement de lèvres et qu'Il vous donne ce que vous êtes venus chercher. Je dis : «Bonne fête aussi et bienvenue à tous les représentants de groupes inter villages de toutes les tribus venus de partout. Les hommes d'amour et de paix que vous êtes, on dit : « l'homme propose, Dieu dispose. » Je ne peux pas commencer sans d'abord dire : « Seigneur, mes excuses ! Pardonne-moi. Pas parce que j'ai persécuté quelqu'un, mais parce que j'ai reçu une colère dans mon cœur. Colère qui ne m'a pas permis de préparer cette fête à la dimension que je suis en train de voir. Mais j'ai compris au profond de moi aujourd'hui face à vous que, malgré tout cela, ce que Dieu a prévu nul ne peut effacer. J'ai compris cela encore en profondeur et je dis : « merci Seigneur parce que Tu as bien voulu et Ton crayon n'ait pas de gomme. Ton crayon n'a pas de gomme parce que je n'ai donné aucune invitation ni arranger pour que cela se présente ainsi. Ce que Tu as dit de tes lèvres Tu l'as déjà fait ». Ce qu'Il a prédit, Il l'a fait en cette journée mémorable. C'est pourquoi je l'ai signalé et je Lui dis encore : « merci ». Merci d'avantage qu'à chaque bout de mon chemin qu'Il soit toujours là pour me consoler. Il m'a consolé, j'ai compris, et je lui dit encore : « merci » je sais qu'en lui disant face à vous je suis convaincue qu'Il a compris.

C'est pourquoi nous pouvons affirmer que : « tout ce que Dieu dit, l'Homme ne peut défaire ». Personne d'entre vous n'est là de sa propre volonté, c'est parce que Dieu a voulu. Certains même à la dernière minute ont voulu se décourager mais ils ne savent pas comment ils ont pu faire pour être là. Je comprends bien de choses que cela me rappelle. Il est dit : « Je t'envoie! J'ai des gens qui vont t'accueillir. Je t'enverrai aux gens qui auront besoin de ce qu'ils ont attendu depuis des années, ils vont accueillir cela. Au point que s'ils ne sont pas ceux-là même, ils ne parviendront pas à en avoir ». C'est pourquoi on dit que si l'on purge même certains avec Dieu, ils iront le chier pour demeurer ce qu'ils sont. Merci une fois encore à Dieu. Merci à tous les invités : du plus petit au plus grand. Merci pour cette sympathie.

Merci pour tout ce que vous avez dit dans les chants. Merci pour tout ce que vous avez dit dans les paroles, pour tout ce dont vous avez mijoté dans le cœur. Tout ce que vous avez rédigé à mon égard, je vous dis : « Merci ». Merci parce que je sais qu'avec vos fortes mains vous me soutiendrez et j'irai jusqu'au bout. Maintenant, j'essuie mes larmes et je rejette la colère et j'accepte la volonté de Dieu. Parfois quand une mère a un problème au profond d'elle et qu’auprès d'elle certains enfants dérangent, voyant qu'en les battants elle peut commettre des gaffes, elle préfère se taire pourtant, elle souffre dans son intérieur. Aujourd'hui, je dis c'est fini ! Parce que je sais que le PERE SOFFO est parmi nous avec les Anges du Ciel et beaucoup de Saints que l'on ne peut même pas compter. Ces saints sont tellement nombreux que je ne parviens pas à les dénombrer. Nul ne rentrera sans que quelque chose ne soit dans son sac parce que ce jour est une très grande fête. La dimension spirituelle de cette fête est tellement élevée qu'elle dépasse votre entendement. J'aimerai que Dieu seul vous fasse comprendre cela par votre cœur et sur votre santé. Pour terminer les salutations, je demanderai à mes mamans ainsi qu'à mes grand-mères, de dire à sa Majesté, le Chef Supérieur Bandjoun, que j'ai compris ce qu'il m'a dit et que cela est allé droit dans mon cœur. J'ai vraiment compris tout le message qu’il m'a envoyé.

Dans la chair, j'ai cru peut-être que je n'avais pas de soutien quelque part. Dans mon esprit, j’avais beaucoup de soutien mais j'étais bouleversée dans ma chair. Mais en passant par mon message qu'il vous a envoyé, je sais que j'ai le soutien moral, spirituel ainsi que dans ma chair. J'ai vraiment compris et je me battrai comme une lionne à tout bout et à chaque moment pour qu'un jour ou l'autre, le Bureau Lumière reçoive les mérites telles que l'Eternel Dieu l'a voulu. Aujourd'hui je reçois encore plus de force, comme une jeune mariée. De la manière dont vous avez pris les choses, c'est tout le quartier qui s'interroge : « Quel est cette jeune mariée aussi précieuse ? A tout âge on peut être encore neuf et manifester sa joie dans son foyer. Je dis encore grandement merci et mes encouragements à maman Berthe et à son compagnon Papa René. Je dis encore merci aux servants et aux servantes qui ont tenu durement. Je dis Merci à la « cloche », à la plus grande cloche du Bureau Lumière qui ne cesse de sonner tous les jours et d'envoyer leurs voix un peu de partout pour crier. A la plus grande cloche, je demanderai que votre voix puisse être perçante, que cela puisse traverser les clés des cœurs des Hommes qui ont été fermées et casse ces clés pour que l'Esprit saint par votre voix habite leur cœur. Félicitation à votre maman MARIE MBEZELE ! (Longs cris de joies), elle sait comment vous encadrer.


-Vous chiez sur elle !
-Elle est là ! (chantres),
-Vous bavardez !
-Elle est là ! (chantres).

Je dirai félicitations à l'Equipe de jeudi qui ne cesse jamais de dire : « on va voir ça ! » (Cris de joies).Aujourd'hui, je dirai encore à Papa DAVID, courage parce qu'il tient comme un homme. Un homme mûr qui sait ce qu'il fait. Je me tourne vers tous les malades du monde entier qui n'ont jamais cessé de marcher pour ne pas me faire honte, plutôt pour m'encourager tous les jours. Je dis grandement merci aux musiciens qui ne cessent de taper tous les jours. Je dis grandement merci encore, je n'ai pas oublié les autorités administratives (sourire) vous savez que lorsqu'un encadreur envoie les enfants devant, il est derrière. Je leur dirai encore grandement Merci et mes encouragements. Si ma voix peut percer le Ciel, je demanderai à notre Seigneur Dieu tout puissant que s'il y a un dernier (un sous gradé)que Dieu lui donne un grade plus élevé !


Alors Bonne fête !
-Merci Maman !
-Bonne fête !
-Merci Maman.


Vraiment, mon regard, mes yeux sont fixés sur vous. Mes mains et mon regard sont ouverts et tendus tous les jours pour vous recevoir. J’aimerai que vous sautiez comme un enfant qui apprend à marcher. Même si en chemin vous tombez, faites toujours des efforts pour vous tourner vers mes mains tendues. Je dirai à toutes les reines spirituelles, traditionnelles qu'aujourd'hui elles puissent comprendre qu'elles ont marqué un pas. Je leur demande qu'elles fasses d'autres pas pour continuer leur marche royale vers le vrai Roi qui est notre Seigneur Dieu, afin de prouver au monde comment l'homme peut mériter dans la simplicité, le titre de reine sur la terre, jusqu’au Ciel.


-Bonne fête !
-Merci maman !



LES PREMIERS PAS DE MARIE LUMIERE DANS LA PROPHETIE 

Aujourd'hui, nous parlons de fête, voudriez-vous que je dise quoi ? C'est tellement long que je ne peux pas savoir par où commercer. 
Me voilà toute jeune en fin 1980 que je reçois un message qui m'est demandé d'aller porter cela à Yaoundé à PERE SOFFO, J'y vais le lui transmettre. Après cela je lui dis « regarde-moi toute petite. Que ferai-je de ce travail face à ce monde? Dieu sait que je ne connais pas bavarder, je ne sais comment parler». Il se leva tout doucement et me dit : « Je lève aussi mes yeux vers le ciel et je demande à Dieu qu'il vous laisse un peu parce que vous êtes trop jeune. Je ne sais pas si vous pouvez maintenir jusqu'au bout ». Après cela, je quitte Yaoundé et arrive ici à Douala, quelques mois après en 1981, on me renvoie à nouveau à Yaoundé. « Allez le voir et transmettrez lui cet autre message. ». Ce jour, j'arrive et lui parle de sa propre vie. Depuis sa naissance jusqu'à l'instant où nous nous trouvions. Il se leva et me demanda : « Quel est ton nom? La dernière fois tu ne m'avais pas dis ton nom es tu une personne de ce monde ou bien un ange ? Et je répondis : « Le jour viendra où je t'expliquerai qui suis-je. » Me voici retournée à Douala. Plus tard en décembre 1981, je suis à nouveau envoyée à Yaoundé, bousculée par l'événement où le Seigneur Dieu me poussa de me mettre dehors pour son peuple. Les larmes ne cessaient d'envahir mes yeux.

Moi toute jeune et toute petite, je n'ai même pas joui de ma jeunesse, même de mon mariage, ni de mon enfance. Même rester tranquille dans ma propre chair ni dans mon Esprit à cause de la bousculade durant toute ma vie à partir de 0(zéro)âge jusqu'à l'âge où je devais trouver le Père pour lui dire le message dont j'avais reçu l'ordre de lui transmettre. Il me dit :« Je sais que tu es jeune, mais ce n'est pas moi qui t'envoie. Je ne peux rien. Il t'envoie mais c'est lui qui ira à ta place. » J'ai encore regardé le ciel et pleurer, avant de lui dire : « Papa, je ne veux pas encore cela. Je venais ainsi que tu me laves ces choses là ».Je marchais (pour ceux qui me connaissent), je n'avais jamais voulu lever les yeux comme ceci (Je sais que ce que je vais vous dire aujourd'hui est étrange dans le monde parce que les gens ne connaissent pas cela. Je suis obligée de vous l'expliquer même s'il faut que nous sortions à n'importe quelle heure) parce que le Ciel tout entier ne cesse de me dire 25ans c'est la médaille d'OR. Voilà comment je dis « Je suis venue vous voir pour que vous voyez si c'est possible de faire quelque chose pour moi. », et Père de me répondre « NON ».

DEBUT DE LA VIE PUBLIQUE DE MARIE LUMIERE


Beaucoup m'ont connue à l'école dans mon Sobriquet de « YAWÉ », de « JUGE ». D'autres m'ont connue dans mon langage, dans mes chansons de tous les jours. Je ne pouvais pas lever les yeux ainsi (vers le ciel) avant de marcher. Je marchais toujours en baissant la tête parce qu'à chaque moment que je levais la tête, le Ciel s'ouvrait devant moi. Et je ne cessais de voir ce que l'on m'ordonnait de faire. C'est ainsi que les anges défilaient chaque fois à mes côtés et j'étais obligée de ne regarder qu'au sol en marchant. C’est comme cela que ma grand mère ne cessait de dire à ma sœur : « Si elle fixe le haut et te demande de regarder, refuse. Elle te fera voir ces gens là ». J'étais tout le temps traumatisée et je souffrais face aux évènements que moi seule voyais et comprenais. Je croyais qu'en allant voir PERE, il allait m'aider afin que je sorte de cette situation. Quand j'avais trop insisté, il me demandait de venir l'aider aussi dans sa tâche. Puis me demandait de ne pas croire que c'est une affaire qu'il pouvait empêcher et clama « Le Ciel a décidé ainsi. Tu dois le faire ! ».Me voici désemparée et je retourne sur Douala. C'est ainsi que beaucoup d'évènements se sont succédés autour de moi et dans ma vie auxquels je ne peux tout en parler. Je me cachais, j'étais discrète et je ne voulais pas qu'on sache ce que je vivais. Un soir, je cachais à mes voisines pour ce qui devait arriver. Un soir, alors qu'on avait éteint la lumière, j'avais oublié le poisson sur la toiture de ma voisine. C'était devenu une ampoule qui éclairait jusqu'à chez ma voisine elle s'en servait comme lumière. Elle vient me demander: « Pourquoi on éteint la lumière tu portes la lampe et pose sur la toiture ? ». Je sors regarder la lampe dont il est question et découvre qu'il s'agit du poisson que j'avais écaillé, nettoyé et posé sur la toiture. Ce poisson était rempli d'étoiles. Je porte le poisson pour le laver à nouveau.

Dès que je trempe cela dans l'eau, les étoiles remplissent dans l'eau et éclairent davantage. J'ai versé l'eau qui a coulé chez mon voisin, celui ci surpris de la lumière vint me demander ce mystère. Je verse l'eau qui coule chez l'autre voisin. Eux aussi voyant l'eau avec les étoiles: ils sont sortis venir me demander ce que j'avais mis dans l'eau et ça brillait. Alors que j'étais en train de me cacher. Dieu a plusieurs manières de parler aux hommes, c'est comme cela bouleversée, j'ai pris le poisson pour aller couvrir. Puisque c'est mon beau frère, l'oncle de mon mari qui m'avait apporté le poisson, il dit : « c'est mon poisson acheté avec mon argent. Fais frire et donne-moi, je vais manger » j'ai obéi. Nous avions mangé ce poisson plein d'étoiles et c'est ainsi que beaucoup ont commencé à me poser des questions Que signifient ces signes ? ». J'ai fermé la bouche. J'ai continué. Deux mois plus tard, une de mes voisines arrive chez moi et entre dans ma douche. Elle tomba en syncope. On cri, je m'amène aussi pour voir pourquoi on cri. C'était un piège que Dieu me tendait et je ne savais pas.

Je viens brusquement porter la femme pour la laver, puisque je n'aimais pas voir souffrir quelqu'un. Aussitôt je l'ai lavée et lui faire boire de l'eau, le saignement s'arrêta. Je lui ai soufflé à l'oreille : « Pardon, ne dis à personne que j'ai travaillé sur toi. Je ne veux pas le faire ». La femme se lève et se met à crier : « tu me sauves, et me demande de ne pas dire aux gens alors que je mourais tout à l'heure ? Woulilili, c'est Marie qui a fait ça ! » Tremblée de peur je dis: « Pardon, je ne veux pas ! ». C’est ainsi que cette année là, mes voisines firent fabriquer trois bancs pour mettre devant ma porte, chaque soir, elles venaient s'y asseoir pour commenter. Elles commentent et je ferme mes yeux lorsqu'elles m'interpellent. A la longue, elles touchent progressivement des sujets qui m'incitent à parler. Quand j'ouvrais ma bouche pour dire n'importe quoi, le lendemain matin cela se confirmait. C'est comme cela que tout le quartier commença à venir me consulter. Les choses sont allées plus vite que je n'en croyais. Bien après j'appelle Yaoundé et informe le PERE que cette histoire là est en train de venir avec force. Il réagit ainsi « ça n'engage que toi. Méfie-toi si un enfant de Dieu tombe parce que tu as peur ».

PREMIER CONTACT AVEC LA FAMILLE MALLAH 



J'arrive un jour à préparer mon gâteau Koki (met très consommé en région Bamiléké au Cameron). Je laisse là bas, je voulais partager et donner aux enfants, ma voisine arrive et je lui dis : « Voici qu'on m'ordonne d'aller donner la nourriture là en haut à une dame que je ne connais pas ». Je me suis amenée ce jour moi-même chez Mallah. Je n'oublierai jamais le Message que j'avais laissé. J'étais arrivée au moment où elle avait reçu un message qui lui demandait d'aller à Yaoundé voir le PERE et elle n'acceptait pas. Elle avait préféré aller voir l'évêque. A l'archevêché, elle avait piqué une crise jusqu'à être conduite au village. J'avais rencontré son mari et les enfants et je leur avais donné à manger. J'ai dit à son mari : « je ne suis pas venue te regarder. Je suis venue regarder les enfants parce que je savais qu'ils étaient seuls. Mais Dieu m'envoie te dire de laisser l'égoïsme. Si non ça ne tiendra pas. Je suis venue comme celle qui éclairera afin qu'ils puissent mieux voir » Il m'a dit : « j'ai du plantain ».Il m'en a donné une main. Je lui ai rendu cela en disant : « Tu as huit régimes et tu ne me donnes qu'une seule main comme pour ainsi remplacer ce que je t'ai donné ? C'est indigne de moi, je ne mange pas ». Bref, en ce temps tout repas, venu de qui que ce soit était interdit de passer à mes lèvres. Soit, je préparais pour manger, soit je restais affamée. C'est ainsi que j'ai continué. Commençant ainsi à Bépanda (NDLR : quartier de Douala, ville du Cameroun).

En 1982 PERE nous (Mallah et moi) présenta à PK8(Douala) et dit : « Désormais vous allez travailler à Bépanda ensemble. Après 2 semaines de travail, l'autre sur Douala. 


C'est ainsi que nous travaillons. Toujours dans ma tête, je demandais toujours au Seigneur quoi faire. Imaginez –vous que vous avez un enfant qui vient précocement de se marier à 23 ans, elle reçoit des choses pareilles? Voilà les choses s'ouvrent, je crois à 25 ans. Me voilà toute petite devant tout un monde, une foule .Ce que j'avais remarqué et qui m'encourageait au fur et à mesure c'est qu'il y avait des moments, je comprenais que ce n'était pas moi qui parlait, mais que c'est réellement quelqu'un qui parlait en moi. Je devais continuer ainsi jusqu'au jour où Dieu devait me demander de prodiguer ce chant :

« Mgâmdo'
Mәjyә bә wә so'o le pa' 
Cyәpo yeso ntәm wap. Tә o da
lәm hә ?Cu' pyә gho vog
guŋŋ Ta' Cu' pyә gho vog guŋ Ta
! Cu' pyә gho khui po Ta shwә nomgui!»



Il m'a ordonné de lever les aveugles et les paralysés debout. Il y eût 27 (vingt-sept) paralysés qui ont marché et 37 (trente sept) aveugles qui ont retrouvé la vue. Ce jour, c'est toute ma famille qui était en joie parce qu'on disait que: « Dans sa folie, elle est allé jusqu'à guérir les gens ».C'est alors que tout Douala s'était déversé. Vraiment c'est une longue histoire. J'ai cru me sauver la tête. Dans mon âme et conscience j'ai dis:« Si tu es avec des gens qui te dépassent, par respect il faut les respecter », c’est devenu un autre problème auquel nous avons beaucoup lutté pour ce phénomène. Pour être brève, nous sommes arrivés au point où en 1995, j'étais avec vous à Yaoundé et le phénomène qui a divisé le Bureau Lumière s'est posé. Je suis rentrée, je ne pouvais rien faire parce que tout était saturé. Voilà, j'ai cru que tout était terminé. Hélas, voici que jusqu'à nos jours, je vais d'étapes en étapes, d’épreuves en épreuves. Vraiment, c’est tellement nombreux au point qu'on ne peut pas compter. C’est trop nombreux. Tout ce que je peux vous dire qui m'a le plus marqué. Papa, lui dans ses idées voulait me nommer sa mère. Mais Dieu refusa de ne pas me nommer sa mère, mais qu'il me donne un nom autre que celui de sa mère mais très significatif. D’où MARIE LUMIERE.

RETOUR AU 25ième ANNIVERSAIRE 


Depuis hier soir, vous fêtez la 25e année de ma prise de service. Hier soir j'accueillais les reines Bandjounaises. Au moment précis où je voulais parler au Chef, c'est alors qu'il appela pour demander si elles sont bien arrivées et au même moment, il annonça que son épouse venait de m'accoucher. Ce n'est pas moi qui suis à l'origine. Alors je me réfère au calendrier traditionnel des bandjouns : « Sεdzu a lä' » et réalise qu'en ce 25e anniversaire, nous sommes « DZәdZә» (un jour du grand marché à Bandjoun), le jour où je suis née. Personnellement, je ne connais pas les dates en langue « yәŋ bә dzәdzә lә ma ? » (S'adressant aux reines) elles de confirmer. C'est un jour dont je suis venue au monde. Une coïncidence que moi-même ne peux pas vous expliquer. Le ciel seul connaît. Une journée où je suis venue au monde et une journée où une autre personne m'accompagne. Je dis grandement merci à Dieu. Aujourd'hui, Il nous a fait des merveilles.

Il est d'abord passé par le PERE SOFFO que je ne peux ne pas souligner ici. Il est passé par le PERE qui d'abord est venu couper de gros arbres sur le chemin. Il a pris toutes ses forces et son Esprit pour dire : « Je dois voir comment je ne dois pas tracer des grandes routes à mes enfants » et il l'a fait Comme il l'a fait : «Attention à vous de dénigrer cette œuvre. Attention aux autres de vouloir perturber tout cela. Je vous dis aujourd'hui, qu'il est Esprit et non plus chair ».


Et je vous le répète « l'Esprit n'est pas comme la chair » parce que l'on dit « vivant ou mort, que ça soit pour mon Eternel Dieu!». Vous devez vous méfier. Si chaque personne d'entre vous a reçu une responsabilité, qu'elle la maintienne et qu'elle le fasse comme elle-même a compris et sans toutefois le boycotter. J'ai compris tout ce que vous avez dit. Ne pensez pas que je dormais. C'est allé droit à mon cœur. Mais que chaque personne fasse son travail. Je ne peux pas faire le vôtre et vous ne pouvez non plus faire le mien. Chaque personne doit rester sur place et faire son travail. Je continue à vous le dire « si vous êtes un successeur et qu'on vous donne un patrimoine.

Malgré tout ce qui peut vous bousculer, si vous prenez colère et allez verser cela dehors, vous vous êtes versés vous-mêmes. Parce que, la confiance que vous avez eue pour gagner cela demeure dans l'Esprit de celui qui te l'a donné et malheur à toi si tu ne peux pas le faire. C'est à toi de tenir et maintenir jusqu'à la fin. J'ai fait mon devoir, c'est à vous de faire le vôtre. Quand est-ce que ce soit ce qui doit être votre colère. Quand est-ce que ce soit ce que vous sentez ; vous avez accepté. Continuez votre acceptation du début jusqu'à la fin. Un jour, une femme vient me voir et me dit : « Maman, pardon prend cet enfant parce qu'il m'ennuie trop» et je lui répondis « Pardon, "MO Kwa' yә mu', mo kwa yә ! » Que chacun porte son d'enfant !».Que chaque personne puisse porter dès maintenant son enfant.

Je reviens aux paroles que les malades m'ont adressées. Pour les encouragements, je leur dis à nouveau: « Rien ne me changera ! » « Rien ne me changera ! ». Je sais que beaucoup d'entre vous sont ceux qui ne supportent pas cette manière de vous dire les vérités. Beaucoup n'aiment pas qu'on leur dise les vérités et ne veulent pas qu'on leur dise qu'ils ont tort, ils ne veulent pas qu'on les reproche. Et moi, je dis : si c'est ma part, dites- moi que maman, vous avez fait ceci et ça ne me plait pas. Je vais comprendre ! Je suis là pour ça ! Je suis obligée et forcée de le faire. Il faut que je vous le dise. Pourquoi obligé et forcé de le faire ? Parce que je porte un nom qui est significatif, qui éclaire. Cet éclairage doit être profond, très profond. Ce n'est pas seulement à vous. Je dois faire mon devoir. Lorsque nous étions trois (PERE SOFFO, Mallah et moi), je parlai à chacun ses vérités. Devant vous, je ne cesserai pas de le dire même si cela vous déplait, à condition que tôt ou tard que vous compreniez la signification. Si vous voyez ma part, venez me le dire. Je ne refuse pas. Je n'ai jamais refusé le dialogue. A jamais, je ne peux refuser le dialogue mais tenez vous tranquilles, je ne peux pas voir ce qui ne va pas et ne pas vous le dire. C'est qu'il n'y a plus personne qui vous le dira. Personne ne viendra vous le dire ! On dit:« telle mère tel fils » il faut que vous méritez ce Ciel un jour. Il vaudrait la peine de même vous fouettez, pourvu qu'à la dernière minute vous méritez le Royaume de Dieu. Nous sommes à ceci, j'ai compris ici que les chantres en passant par maman Marie MBEZELE ont parlé du bouquet de fleurs.

Mais je vais vous dire quelque chose. Il y a certains appareils de nos jours ainsi que certains produits chimiques que lorsqu'on verse sur les herbes cela brûle et l'on vient seulement nettoyer pour semer. J'espère que ces produits là peuvent quand même toucher les gourmands qui veulent envahir vos peaux et les faire produire de bonnes semences. Des semences que chaque personne pourra admirer sans cesse. J'aimerai la qualité ! La qualité Que partout où vous passez, que vous soyez la qualité des gens. A tel point qu'à votre passage on déclare qu'une personne de valeur était là. J'ai compris que la rose dans votre bouquet de fleurs est un signe d'amour. Mais j'aimerai que la rose soit dominante, que le blanc marie cela et que le rouge soit comme le bracelet de votre bouquet de fleurs. Parce qu'on dit que « quand un amour est en balance et que la rose s'installe, cela signifie que tout sera rose ». C'est ceci le langage des fleurs (rire).

Quand un amour est en balance et que la rose s'installe, ça veut dire qu'à la longue, tout sera rose ! Il faudra que tout soit rose comme le premier jour de vos mariages. D'une grande fleur Rose qui doit chaque jour renouveler la situation et embellir votre intérieur pour qu'il continue à briller, et jaillir des étincelles afin qu'un jour vous puissiez mériter le Ciel. C'est pourquoi j'ai dis « la grande cloche » pour que quand ça sonne, si vous dormez même cela vous réveille. Je dis : tout cela est allé droit à mon cœur. Je dirai aux reines et notables spirituels du Bureau Lumière que ce 25e anniversaire nous marquera encore un très grand bon en avant, pour le travail et la prospérité, et non pour le recul. Je dirai à tous les responsables qu'ils sachent que nous sommes ainsi à un début de travail, une autre phase de travail que nous débutons aujourd’hui. Je ne veux pas que vous allez dire « ha ! Elle a commencé ». Je n'ai rien commencé ; je dis une vérité; je suis ensemble avec vous. Je suis là avec vous! Vous m'avez donné encore plus de 75 ans de vie, 400 ans de vie, 500 ans de vie (large sourire de maman lumière) c'est que vous serez fatigués de me porter (rire). Si quelqu'un fait 500 ans comment marchera-t-il ? Eh ?

-On va vous porter !
-Vous allez me porter ! ?
-Oui maman !
- Ne serez-vous pas fatigués ?
-Non maman, le dos est là !
-Le dos est là hein ! ?
-Oui maman !
-Est-ce qu'à cet âge lorsqu'on parle, on comprend encore ? Oui ! Que sa volonté se réalise ! si je dis non, vous direz : « écoutez, elle a encore commencé ! » ; Si je refuse vous me traiterez autrement et si je dis oui, vous direz qu'elle va contre la volonté de Dieu. Je préfère me taire. Que tout ce que vous avez dit, qu'il mette et que ce soit la volonté si c'est sa décision, je l'accepterai. Je l'accepterai. Bwânyә bi po bә oo !
-Oh !
Jésus disait : « nul n'est prophète chez soi ». Il était tentionné des évènements parce qu'il trouvait que dans Israël chez lui, il eût des prophètes qui étaient arrivés et seuls les gens lointains venaient accueillir ce qu'ils disaient. Moi, je me dis que cette nervosité a permis qu'aujourd'hui je puis dire vraiment que : « c'est une grande première qu'un prophète soit accueilli chez lui-même » ; (longs cris de joie dans la foule). Je dis merci beaucoup et je vous demande de tenir. Surtout à nos mamans, quelles tiennent fort parce que nous savons que si de l'autre côté elles tiennent, on dormira tranquillement.

Mes frères et sœurs en Christ que vous êtes, la Parole de Dieu ne passe pas vaine. Tout passera mais la Parole de Dieu ne passera pas. On ne remarque celui qui aime Dieu que par ses œuvres et non sa grandeur. Il nous interpellera tous de le suivre en ce jour. C'est pourquoi, depuis un certain temps, j'ai dit:« il faut que nous glorifiions le Seigneur Dieu pour qu'Il nous glorifie aussi ». Lorsque les enfants ont chanté tout à l'heure, leurs manières ont bousculé nos poches au point où personne ne s'est abstenu à ne pas toucher au moins de l'argent pour eux. Peut-être d'autres ont même touché leur argent de transport. S'il faut mieux voir, qu'est-ce qui vous attire de faire ? Et pourquoi ? C'est parce que vous êtes touchés par ce spectacle réalisé par les enfants. Dieu lui-même aimerait être glorifié pareil car on dit : «Tu es vraiment Saint !Tu es la source de la Sainteté !Tu es le digne ! Tu es un vrai Dieu ! Tu es celui-là que nous cherchons tous les jours. Glorifiez le Seigneur Dieu, c'est l'obliger parfois à nous faire beaucoup de choses. Ce n'est pas à chaque moment tomber et pleurer comme certaines personnes le font dans l'agitation et les larmes et disent qu'ils voudraient que le Ciel les écoute.

NON ! Parles-Lui, Il t'écoutera ! Il t'écoutera et Il fera ta volonté à toi. Tu ne peux pas par tes larmes, L'obliger à faire ce que tu veux. Très souvent, vous êtes tentés de L'obliger à faire votre volonté et non pas Sa volonté. La manière dont vous glorifiez Dieu, c'est comme si vous vouliez Lui dire:« nous sommes capables de te flatter jusqu'à ce que Tu nous fasses ce que nous voulons » ; au lieu de lui dire : « Seigneur, que Ta volonté se réalise en moi ».Je veux passer par là pour vous dire que : « Personne ne peut vivre dans la gloire de Dieu sans passer par les épreuves. Les épreuves ne sont que les problèmes que nous endurons chaque jour de notre vie. Je voudrais que vous sachiez ceci : « Vous devez encore dominer tous les problèmes pour mieux mériter au lieu d'être fané tous les jours. » Les hommes d'Amour et de Paix, aujourd'hui dans ce moment inquiétant, beaucoup parleront de la pauvreté. Je vous dis: Vous n'êtes pas pauvres ! Ne vous appelez pas des pauvres. Demandez pour être des hommes riches. Vous dites êtres des hommes pauvres parce que vous êtes entrés dans le matériel plus que l'assurance de notre Seigneur Dieu.

Si vous pouvez vous prendre à la dimension de notre Seigneur Dieu, vous verrez que vous êtes des hommes riches et non des hommes pauvres. Dieu nourrit ses enfants passant par plusieurs manières. C'est pourquoi je dis tous les jours:«l'homme de foi n'a rien et ne manque rien ».Ce que je vous dis, j'ai reçu. J'ai vécu cela dans ma propre vie, tellement il y a des moments où l'on se sent tombé et qu'on ne peut plus vous bouger du sol; juste au moment où tu tombes tu penses que tu es fini. Dès que tu appelles seulement un nom, un nom qui sauve! Ce nom qui sauve, c'est quoi SEIGNEUR?
-Quand tu appelles seulement SEIGNEUR, la force et le souffle te reviennent. Quand tu appelles mon Seigneur et mon Dieu, la force et le souffle te reviennent davantage. Je vais vous dire:« Juste au moment où vous l'appelez, vous l'invitez, bouchez vos oreilles avant qu'il souffle autour de vous. Faites ainsi et regardez là haut (pointant le ciel), Il vous dira
quelque chose qui pourra mieux vous soulager. Les mères, j'ai dit et je le dirai toujours. « Que toutes les épreuves que vous vivez, ne passent pas vainement. »

-GAO !


-HOO !


-Vraiment ! « Que tout ce que j'ai reçu Seigneur ! Que tout ce j'ai reçu comme problèmes, comme tentations, comme épreuves de la vie puissent me servir de leçon pour nourrir ceux qui ne te connaissent pas encore.». Les mères, Dieu parle à tout le monde. Dieu ne parle pas seulement à ses envoyés. Il vaudrait que vous enleviez le coton qui ferme vos oreilles et que vous déplaciez la pierre qui bloque votre cœur afin que sa parole parvienne au cœur. Que vous puissiez laisser le bavardage et le « Msubasi » (commérage) que vous prodiguez tous les jours pour écouter le Seigneur notre Dieu. Il n'y a pas de pauvre devant Lui. Tous ses enfants sont des Hommes riches. Car si un prince n'a pas de place, c'est qu'il est un paresseux. Puisque tout le monde sait que tous les biens leur appartiennent. Aujourd'hui, qu'Il puisse vous combler de cette grâce et vous comprendrez que tout n'est que grâce quand on croit. Comprenez cela ! Lorsque vous comprendrez cela, vous ne serez pas fatigué de Le servir. Ni être triste quand il faudra vous lever, ni faiblir quand il faudra Le servir. A chaque moment, vous serez préparés pour aller le servir partout ! Retenez cela. Le PERE disait très souvent:« Avant de vous baisser pour regarder le derrière de quelqu'un, sachez que le votre est largement ouvert. » Aujourd'hui, je vous dis : « avant de comprendre et amplifier, dire de tout et de rien sachez que si un problème ne vous arrive pas, cela n'est que question de jours ! » Voici le moment de prendre l'élan le plus fort. Il faut dire à Dieu:« Nous voici et nous acceptons cet engagement ».

Aujourd'hui, je crierai plus fort que« TOUT EST ACCOMPLI ». Tout est accompli parce que nous avons cheminé jusqu'à cette année : 25 ans de service. Vraiment, je n'y croyais pas! Je dis à Dieu:« Si dans la jeunesse, Il a été toujours là, en tout moments: des moments de joies comme dans les moments les plus difficiles, Il continuera toujours. Je peux affirmer que :« Je prouverai au monde comment on va au Ciel.» Je dis la Vérité ! « Je prouverai comment on va au Ciel ! ». Ce jour là, vous ne verrez aucune tristesse dans mes lèvres. Je sourirai pour vous dire que:« vraiment je suis en train de m'en aller ». Je prouverai aux hommes comment, l'on va au Ciel ! Quand on parle du Ciel ici bas, ce que j'ai remarqué, c'est comme si l'on avait bougé les petits démons dans le corps pour que ça puisse dire : que dit-il ? » C'est une réalité ! Le Ciel existe! C’est pourquoi dans mon message de samedi dernier (samedi 25 janvier 2007), j'enseignai aux hommes que dans toutes les planètes créées par Dieu, la planète terre est la plus dangereuse. Tellement dangereuse que quand l'homme quitte pour arriver ici, le Ciel dit: vraiment, s'il peut aller ainsi et être de retour un jour ! » Parce que beaucoup ont été envoyés sur terre et ils ne sont plus jamais retournés. La planète terre demeure la plus dangereuse de toutes les planètes.

Ceux qui vivent dans d'autres planètes sans chair. Ils n'ont pas besoin de votre transport, ni de votre voiture ou maison, ils n'ont même plus besoin de porte pour entrer où c'est fermé. S'il veut aller n'importe où, il part. Il n'a pas besoin de demander. S'il veut entrer n'importe où il le fait. Même si tu construis ta maison en pierres, lorsqu'il décide y entrer, il entre simplement. Hélas, nous sommes sur une planète sur laquelle, lucifer a pris du temps, s'agenouiller et creuser pas mal de choses. Je vais un peu vous énumérer ceci : « Dieu est bon. Cette année, il a pris décision de redescendre pour reprendre depuis l'évènement Mallah tous les prisonniers spirituels qui sont libérés et dispersés dans la nature. Les enquêtes que mènent tous les Anges ont déjà permis de ramener certains de ces prisonniers dans leurs maisons. »

Prions beaucoup pour que les choses continuent parce que si cela se poursuit ainsi, on arrivera à un phénomène comme on était au début. Ce n'est de secret pour personne, c'était rare de trouver des femmes mourir lors des accouchements. C’était au moment où les hommes avaient pris avec la ferme confiance cette œuvre, cette volonté de Dieu. Cela empêchait que beaucoup soient piégés dans l'accouchement. Mais depuis un certain temps, le bavardage s'y est installé et créé des divisions avec pour conséquence les fâcheries du Ciel. Puisque, ce n'est pas l'homme qui l'a construit, mais Dieu Lui-même. Toute personne devrait comprendre cette œuvre et en tirer profit malheureusement cette division a occasionné la dispersion des fidèles de l'œuvre qui se sont vus pour la plus part piégés par le malin. VOTRE HOPITAL EST ENCORE LA ! RIEN N'A CHANGE ! N’ALLEZ PAS VOUS LIVRER DANS LA GUEULE DU LION ET ETRE PIEGE TOUS LES JOURS ET PUIS PLEURER COMME VOUS LE FAITES.

Ecoutez moi bien:« je ne dis pas que l'homme ne peut pas mourir » mais cette lutte qu'on mène depuis des années a pour but que le démon, ou qui que se soit, ne profite pas d'une fraction de seconde pour te faire mourir avant l'heure fixée par Dieu. Comprenez ceci ! C’est l'objet de notre lutte depuis des années. A cause de votre désobéissance et vos bavardages, les choses ne marchent pas comme prévu. Mais, j'espère que si ce n'est que vous là, les choses reprendront avec efficacité à tel point que PAPA (PERE SOFFO) qui a pris service en Esprit puisse mieux vous aider comme il vous l'avait promis. LE BUREAU LUMIERE N'EST PAS UNE EGLISE.C'EST UN HOPITAL SPIRITUEL difficile à comprendre et à croire parce que c'est NOUVEAU. De nos jours, on constate que beaucoup ouvrent des kiosques et chantent tous les jours qu'ils font les mêmes guérisons qu'au Bureau Lumière. On n'empêche pas. Il ne suffit pas de le dire. Je dis : « Qui n'est pas contre Dieu est pour Dieu » Pourvu qu'ils soignent vraiment. De nos jours beaucoup pensent que clamer fort qu'ils guérissent, c’est l'essentiel, on prépare et ils mangent puis perçoivent de l'argent. Ces déclarations visent à se faire de l'argent. D'autres pensent qu'en disant ainsi, on viendra simplement leur en donner.VIE DES PROPHETES : EXEMPLE A SUIVRE. NOUS AVONS PRIS NOS VIES POUR VOUS SERVIR D'EXEMPLE.

Moi, que n'ai-je pas fait ? Cela ne signifie pas que si on ne travaille pas pour Dieu, on ne mangera pas. Comprenez que : « Quand Dieu appelle quelqu'un, cela ne signifie pas qu'il est inapte et ne peut rien faire. » Tout au contraire : « Accepter servir Dieu est le travail le plus difficile dans le monde ». Parce que, si à un âge avancé je quémandais vous diriez « la vieille femme là a manqué où aller mourir et vient vous déranger » Mais : IL NOUS A CHOISIS JEUNES POUR VOUS RAJEUNIR DANS NOTRE JEUNESSE.
Sachez que partout où l'homme part pour faire n'importe quoi, pourvu que ce ne soit pas la voie du péché, s'il invite son Seigneur, il l'accordera et il recevra le peu qu'il lui accordera. Hier certains vous demandaient de ne pas prier pour demander l'argent.

Qui doit avoir honte de demander quelque chose à son père ? Prie ! Dis-lui « Seigneur, Pardon, les moyens pour me déplacer et te servir manquent. Ma chair pèse dans mon Esprit. Si j’étais seulement Esprit, je marcherai à la manière des autres Esprits. Mais il me faut des moyens... »Il n'y a pas de problème à tout cela. Rassemble tout ce que tu veux aller vendre, prie dessus. Pries dans ton lieu de service demande-Lui. Comme Il l'a dit Lui-même:« Demandez et je vous donnerai » Il n'a pas précisé ce qu'il faut demander. Sauf le péché. Demandez tout sauf le péché. C'est le péché qui vous bouche les oreilles et vous ne comprenez rien.


Bonne Fête ! Si on veut toujours parler, on pourra dormir même ici.

Bonne Fête et joyeux anniversaire aussi. (Rire) parce que c'est notre fête. Ce n'est pas seulement la fête de la mère seule.



DISPOSITIONS FINALES 


Maintenant, nous allons partir d'ici et tous les étrangers à la chefferie. Mais il y aura un peu de quelque chose ici au camp tout à l'heure. Lorsque la phase d'intervention finira, nous passerons à la phase suivante. Les personnes enregistrées passeront puis on clôturera avec la danse traditionnelle, une très grande danse que sa Majesté le Chef DJOMO a demandée spécialement pour clôturer les manifestations de cette journée. Avant de m'asseoir je laisserai mes mamans envoyées par le chef vous dire quelque chose. J’ai aussi besoin de ce qu'ils vont vous donner en cette soirée où nous avons mangé de la nourriture spirituelle.

Après avoir observé l'oeuvre de Père soffo et de Maman Marie Lumière à travers le BUREAU LUMIERE, la chefferie Bandjoun a décidé d'exprimer sa reconnaissance à DIEU, en élevant LA PROPHETESSE MARIE LUMIERE à la dignité de PREMIERE REINE MERE DE LA CHEFFERIE BANDJOUN.