Ne pas répondre méchamment, mais ayez un sens, un tact pour répondre sans méchanceté. Avant même de répondre, méditez même pour que le Ciel vous donne la manière adéquate pour le faire pour que vous vous amenez aux autres pour leurs répondre afin qu’ils changent d’avis sur ce qui n’est pas normal. Revenons à ceci.
C’est pour vous dire que quand l’Homme est travailleur, il réussit à s’en sortir dans la vie. Beaucoup d’enfants qui viennent chez les autres très souvent se plaignent qu’on leur fait trop travailler. « Je travaille trop c’est moi seul qui lave les assiettes, c’est moi qui fait telle ou telle chose. »
Mettez les mains aux oreilles pour bien analyser le son dans vos tympans. Suivez bien, vous les élèves là ! Les regards ici. Ne pas prendre cela comme esclavage. Mais considère cela comme un apprentissage. Parce qu’en travaillant, tu apprends beaucoup de choses. Pour toi qui travailles, tu bénéficies par rapport à ceux qui restent sans rien faire. La graisse va aller s’accumuler dans leurs os et ils vont grossir pour ne pas pouvoir faire du sport à l’école ou travailler pour eux-mêmes. C’est eux qui vont perdre. Toi, ne penses pas qu’on fait de toi l’esclave. Mais, sache que tout ce que tu fais est un apprentissage. En balayant tu apprends. En lavant les assiettes, tu apprends. En préparant, tu apprends à préparer. Si en préparant tu pries, Dieu peut t’ouvrir la tête et tu fais des mets plus succulents que pour la maman qui te fait travailler.
- Avez-vous compris ?
- Oui, maman
- En ce moment, si tu dis simplement « je ne peux pas faire. qui est votre esclave ici ? Je ne peux pas ! », alors, cette attitude ne pourra pas vous aider. Observez hier. Hier, il n’y avait pas de service traiteur chez nous. N’est ce pas ?
- Oui, maman
- Comprenez ! Un moment viendra où tout ce qu’on fera sera une école. on passera par l’école avant de travailler. que faut-il faire pour être du Service traiteur ?
- Il faut aller à l’école !
- Il faut aller apprendre à l’école. pourtant à notre époque si nous avions manifestation, on se regroupait pour préparer ce que nous voulions pour manger. Mais de nos jours pour le faire, il faut aller à l’école.
En plus, on vous dira que pour nettoyer la maison, il faut passer par une école. D’ailleurs même que cela se fait déjà pour faire le nettoyage en tant que bonne chez quelqu’un, il faut déjà un diplôme. Et à nos jours où je vous parle, ça existe déjà dans nos cités. Par exemple à Douala quartiers BONAMOUSSADI, MAKEPE et autre, cela existe déjà. Si vous vous y rendez pour demander à être domestique vous avez. Si tu n’as pas de BEPC, on te dira que « tu vas venir chez moi gâter tous mes appareils parce que tu ne sauras ni lire ni écrire. Je n’embauche que celles qui ont le BEPC ou le probatoire » je vous dis la vérité. Ça veut dire qu’il n’y aura pas de petit métier. Il n’y aura pas de petit métier. Au village, j’ai rencontré certains jeunes qui passent leur temps à demander des parcelles à cultiver pour qu’on les paye. Dans l’avenir, il n’y aura plus de petits métiers. Parfois ils obtiennent le nettoyage des concessions et ils sont payés chaque mois.
Alors ceci pour vous dire que, si on demande à tout un chacun de travailler qu’il le fait. Ce n’est pas devenu la mort acceptez et travaillez. Faites ainsi à chaque moment et quand vous serez docile, même le ciel va vous récompenser, le ciel va te bénir et tu vas réussir sans problème. M’entendez-vous ?
- Oui, maman
- Ne pas dire que « ici, je souffre trop. Je monte, je descends, je fais ceci ! » non, ce n’est pas bien !
Nous sommes à ceci, quand hier des disciples allaient faire l’évangélisation, ce n’était pas facile comme vous croyez. C’était tellement difficile parce que les Hommes avaient encore le sens de « œil pour œil, dent pour dent ». Ils n’avaient pas encore compris le sens du pardon. Alors ils ont évangélisé si bien que le monde entier comprenne qu’il faut pardonner.
A nos jours, il faut enseigner aux autres le sens du pardon et non la loi de Moïse : « œil pour œil, dent pour dent » LA VIE DES ENFANTS, LA VIE DES ELEVES ET ETUDIANTS DANS L’ENCEINTE DES FAMILLES.
PARENTS, les papas et les mamans que vous êtes ; surveillez vos enfants. Surveillez-les. Il ya des choses horribles qu’ils mettent dans leurs intimités ; des choses horribles qu’ils refusent de vous dire. Peut être parfois parce que vous êtes souvent sévères et retissant à ne pas les écouter. Ainsi, ils s’enferment sur eux-mêmes et en meurent.
Les parents, vous devez souvent écouter vos enfants. Les écouter signifie les contrôler régulièrement. Contrôler leurs fournitures scolaires, observez la manière dont ils vivent
- Gao !
- Ooh !
- Il y a certains parents dont quand les enfants sont malades à la maison, ce sont les autres enfants qui signalent aux parents.
Peut être depuis cinq jours l’enfant souffrait à leur insu ceci parce qu’ils n’observent pas. Ce n’est pas bien. Chaque matin, levez vous et observez les enfants minutieusement. Moi, j’ai ma manière de faire. J’observe même quand ils sont en sommeil. Parce que certains enfants convulsent dans le sommeil et qu’à jamais, les parents ne pourront pas connaître si on ne les regarde pas. Observez la manière dont ils viennent. Prendre l’initiative de fouiller leurs documents quand ils rentrent de l’école. Leur poser des questions par rapport aux devoirs qu’ils ont faits à l’école.
- Gao !
- Ooh !
- Parents, suivez-moi !
Je me souviens, ma grand-mère, n’était pas intellectuelle, elle n’avait jamais été à l’école, mais elle avait sa petite sagesse. Quand mes petits frères rentraient de l’école, elle prenait l’initiative de vérifier leur travail. Elle le faisait surtout les jours du marché puisqu’elle renfournait tôt. Elle les envoyait chercher le bois pendant ce temps, elle va chercher un garçon voisin de la concession et lui posant des questions sur le travail des enfants à l’école à l’aide de leurs cahiers. Par exemple, elle demandait ceci : « En calcul, qu’a-t-il eu comme note ? » on lui disait, et elle enregistrait. En dictée qu’a-t-il obtenu ? Elle enregistrait tout ce qu’on lui disait sur les matières aux programmes (rédactions sciences etc.). Elle enregistrait tout cela pour attendre les enfants retourner avec du bois.
Lorsque tu présentais une sous-moyenne, elle te menaçait avec. Toi-même conscient que tu as des sous-moyennes tu ne pouvais pas croire qu’elle puisse en savoir puisqu’elle ne savait ni lire, ni écrire. C’est ainsi, quand elle te menaçait avec ses sous-moyennes, tu étais surpris qu’elle l’ait su. Et toi de dire : « Eh ! Grand-mère connaît déjà que j’ai les sous-moyennes ». C’est ainsi qu’elle prenait le bâton pour taper parce que les mauvaises notes
- Gao !
- Ooh !
- Et po Khi Kayé Jap si hayta gaz : A bo’o ba wabo gho no vee to ys gs yasu’ nee ?
- « Vo to yo’ » veut dire dictée. e gho ne se cu’nye ge la’a ? c'est-à-dire : sur la matière où l’on compte on associe : « Se cu’unye » : l’addition. E be ê gho ne se cws’p ge pa’a ?. Se cws’p = multiplication. Be ne se bavètè be e ghe ge ks ?.
Elle demande on la renseigne. Elle demande : « A be e gho ne yu’ te bhee ge pa’a ? ». La rédaction. Lorsqu’on lui parle elle prend soin d’observer dans le cahier pour ne pas se tromper par la suite. Lorsque l’enfant arrive, elle sort le cahier, tient sa chicote en main et déclare : « Toi, dans ceci, tu n’as eu que zéro. Tous les jours je pose la lampe pour que tu apprennes ; qu’est-ce que tu apprends donc ? Yaaa ! En te poussant la tête avec le bâton.
Elle faisait comme cela chaque fois. Ce n’est que plus tard quand ma grand-mère était fatiguée et qui restait chez nous tous les jours que moi-même, j’ai connu qu’elle n’était jamais à l’école. Nous tous à la maison savions qu’elle avait fait l’école sous l’arbre et en savait un peu de l’école. Alors qu’il n’en était rien.
Elle avait fait ainsi, et cela a rendu les autres forts. Et comme en ce temps là, il n’y avait pas de collège au village, beaucoup à l’époque avaient obtenu leur CEPE (Certificat d’Etude Primaire et Elémentaire) avant de partir. Elle avait été dévoué à faire tout cela, elle s’y était engagé à faire. Vous aussi, parents faites de même. Vous devez prendre l’initiative de surveiller régulièrement les enfants et réviser leurs travaux de l’école.
Deuxième initiative : Dialogue avec l’enfant il est très important de dialoguer avec son enfant. C’est quelque chose de précieux. Vous là m’inquiétez un peu savez vous pourquoi ?
- non, maman !
- j’ai trouvé des parents qui ont peur de leur propre enfant. des parents qui ont peur de parler à leur propre enfant. je me suis interrogée !
- Gao !
- Ooh !
- Suivez-bien ! Jusqu’à nos jours, ma propre mère, même comme je suis grande ainsi, elle prend le bâton sur moi. elle me gronde. Elle a eu à me gronder un jour si bien que je lui ai demandé si elle ne sait pas que je suis mariée. elle ne sait pas que je suis mariée. elle m’a répliqué : « Marié veut dire quoi ? » je m’en fou de tout ça. si tu ne peux pas comprendre, même si tu accouches même combien d’enfant je serai toujours derrière toi pour que tu comprennes ».
Jusqu’à nos jours, je ne suis pas grande devant elle. Je ne comprends pas comment certains parents ont peur de parler à leurs enfants. Au départ, quand vous avez peur de parler à un enfant, vous êtes entrain de noyer cet enfant. Quand il sera grand, il va croire qu’il a le monopole de tout faire. Et ça ne sera pas bien.
Moi, je vous dis la vérité.
Nous, avons eu à tenir des réunions familiales pour chauffer les fesses de certains qui sont mariés. Ce sont des choses qui ne sont pas bien. Un parent ne doit pas avoir peur de dire la vérité à son enfant. Même s’il lui donne même des millions. Donner des millions à sa mère ne doit pas signifier acheter sa conscience ou payer sa psychologie. C’est ce phénomène qui, tue la majorité des familles aujourd’hui. Celle qui donne plus te fait honte de parler contre elle ou contre lui. Non ! Moi, « Mys juijys’ », DJUIDJIE, Donne-moi tout ce que tu veux tu ne seras pas capable de payer ma conscience. Nul ne peut payer ma conscience. Personne. Quand quelque soit ce que tu peux me faire, nul ne peut me payer la conscience. C’est ce qui fait mal dans plusieurs foyers. Plusieurs familles à nos jours souffrent de malédiction, de sorcellerie, des problèmes divers parce que dans ces familles, il y a des gens nantis, riches, qui viennent dompter le père ou la mère avec leur argent pour dire des choses fausses à ces derniers. Et toi le « pauvre » tu viens dire n’importe quoi, tes parents te repoussent avec même ce qui est vrai. Ils ne t’écoutent plus. Certains vont jusqu’à vous demander si on mange ta vérité : « On mange ta vérité ? ».
Si à vous on posait cette question « Mange-t-on ta vérité ? » qu’allez-vous répondre ? Réveillez-vous !
- Tu reste bouche bée.
- Personne ne répond. Suivez !
À moi, quelqu’un m’a déjà dit : « est-ce qu’on mange ta vérité ? ». Je lui ai répondu : « On vit de vérité et on est libéré de vérité ». Ça veut dire qu’on peut manger la vérité. On vit de vérité. On ne la mange pas, mais on est libéré de la vérité et sa conscience est propre. Il n’y a aucun jugement aussi sévère que la conscience de l’Homme. Quand vous trouvez certaines personnes en route qui sont entrain de bavarder seules, après cela s’ensuit la folie. Vous pensez que c’est quoi qui cause cela ? C’est parce que la conscience n’est pas libre. Dans sa tête il veut se libérer mais cherche en vain celui à qui se confier. Parce qu’il a honte de ses actes. Il a peur que l’on m’écoute cela et la déranger avec plus tard. C’est pour quoi dans 100 cas de folie, 95% souffrent de cette situation que je suis entrain de vous décrire les 5% restant se réclament des cas de maladie. Certaines personnes sont ceux qui prennent l’initiative d’avoir la vie facile et lorsque les conditions les dépassent déjà, ils ne peuvent le dire à qui que ce soit, ni s’ouvrir aux autres. C’est ainsi qu’il passe du temps à mijoter, à voir comment on le tiraille et à faire des mauvais rêve.
Il en est de même de nos jours, quand vous êtes infectés, la première chose qui sort de votre bouche c’est : « j’ai reçu le poison de nuit » ou on déclare qu’on a la typhoïde. On ne dit pas la vérité. La conscience demeure et continue à te juger jusqu’au moment où tu dois te libérer.